5 choses que vous ne savez pas sur moi

Je tiens ce blog depuis juin 2014, certes, de façon plus ou moins assidue selon les périodes. Il n’empêche qu’il y’a pas mal de petites choses que vous ne soupçonneriez jamais en me lisant… parce que non, je ne suis pas qu’une maman, je vous rassure!

Je suis une vraie beauty addict. Une beautysta, une accro aux produits de beauté et de maquillage, une vraie de vraie, une pure et dure. Jean-Mi me fait régulièrement les gros yeux quand il me voit revenir de Sephora, je crois qu’il ne comprend pas comment on peut collectionner les palettes de maquillage, ni surtout: pourquoi. Manque de bol pour lui, on a emménagé à côté d’un Nocibé.

J’ai arrêté de compter, mais je crois que je dois posséder environ 10 palettes de maquillage pour les yeux (je ne compte pas les fards à l’unité) et une quinzaine de rouge à lèvres. Je ne vous parle pas de mes blushs, enlumineurs & co.

Besoin de me détendre? Je traine sur le site de Sephora, sur des blogs beauté, ou je me balade dans une parfumerie. Ca me vide la tête aussi bien qu’un bon roman!

Bref, quand je plaisante sur le fait que j’aurais du créer un blog beauté, en fait je moque gentiment: parce que j’ai réellement failli en créer un il y’a quelques mois. Le truc qui me retient, en fait, c’est que j’ai la flemme de faire de belles photos, et que je n’ai aucune envie non plus de me prendre en selfie all day long (on en reparle en dessous).

Je déteste les selfies. Je trouve ça vain, je ne comprends pas l’utilité de se prendre en photo aux toilettes, et les touristes avec leurs selfie-sticks me donnent des envies de meurtre (surtout quand ils bloquent l’accès à une oeuvre au musée juste parce qu’ils veulent se prendre en photo devant, sans même y accorder un regard – ça me rend littéralement dingue!).

J’apprécie énormément d’aller chez le psy, j’ai d’ailleurs suivi des thérapies à plusieurs occasions. Je trouve que nous sommes notre plus beau voyage et qu’apprendre à se connaitre est une quête fascinante. Je suis aussi persuadée que c’est en se voyant tel qu’on est, et non tel qu’on aimerait être, qu’on peut ensuite accéder à une forme de bien-être durable, et encaisser les coups durs avec plus de sérénité (et ces 3 dernières années je peux vous dire que cela m’a vraiment beaucoup aidée). Cela m’aide aussi à avoir des rapports plus sains avec mon entourage (je ne les gonfle pas avec mes problèmes existentiels à longueur de journée). Par contre, j’ai mis beaucoup de temps à comprendre que tout le monde ne voyait pas les choses sous cet angle, que pour certains les psys étaient réservés aux fous ou aux faibles (il faut au contraire beaucoup de courage pour accepter de se regarder en face avec lucidité), et j’ai désormais arrêté de conseiller à mes proches d’aller voir quelqu’un s’ils ne se sentent pas bien, vu la violence des réactions parfois rencontrées (oups!).

Je suis plutôt anticonformiste, ce qui ne se voit absolument pas au premier abord (mais vraiment, vraiment pas). Je n’avais pas prévu de me marier ni d’avoir des enfants, les choses se sont juste goupillées comme ça, et les choix que j’ai faits ont toujours été dictés par l’envie et non parce que c’est ce qu’il « fallait » faire dans une trajectoire de vie pré-établie. Au final, ma vie parait très rangée vue de l’extérieur, mais je n’étais absolument pas destinée à vivre ainsi, ni à faire les études que j’ai faites. J’ai gardé un petit fond « rebelle », ce qui fait que je privilégierai toujours le « bon sens » aux conventions et, si cela peut surprendre, c’est comme ça que je me sens libre. Le revers de la médaille, c’est que tout ceci peut parfois créer des malentendus, vu que je suis assez vite catégorisée dans la case « bourgeoise de bonne famille » quand je rencontre les gens pour la première fois.

Ma série préférée, c’est Buffy contre les vampires. Maintenant, vous savez. 😉